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bandu2 : menu_arrow.gif Article: Obama et Saeko - 26/08/2009 23:08

Si de Dakar les propos de Sarko adressés à l’Afrique sont insultants, d’Accra, Obama remet le couteau dans la plaie

En deux ans, deux discours ont été prononcés en terre africaine à Dakar et à Accra par deux supers présidents, eu égard à la surprise relative à leurs accès au pouvoir suprême de leurs pays, respectivement par M. Nicolas Sarkozy, le 26 juillet 2007 et Barack Obama, le 11 juillet 2009. Chacun des deux discours montre du doigt accusateur le Berceau de l’humanité ; l’Afrique, quant à sa propre misérable condition de vie socioéconomique où s’est réduit son peuple toujours en pleure et mourant comme des insectes sous l’effet nocif d’un insecticide. L Afrique est responsable de tout les maux dont elle souffre et cela n’est nullement imputable à l’occident par le canal de la colonisation. Autant cette vérité a été soulignée par Sarkozy, dans sons discours tourné en ridicule par certains africains, autant on la repère dans celui du président américain. Tous les deux semblent réellement nous dire, sans caresse à l’appui, que l’avenir de Afrique appartient aux africains eux-mêmes. Le ton est le même : l’Afrique doit cesser de pleurnicher sur son sort et d’en rechercher le responsable dans un ailleurs imaginaire. Quand Sarko nous disait que « la colonisation n'est pas responsable de toutes les difficultés actuelles de l'Afrique. Elle n'est pas responsable des guerres sanglantes que se font les africains entre eux. Elle n'est pas responsable des génocides. Elle n'est pas responsable des dictateurs. Elle n'est pas responsable du fanatisme. Elle n'est pas responsable de la corruption, de la prévarication. Elle n'est pas responsable des gaspillages et de la pollution », son homologue américain, corrobore sa pensé en ces termes : « il est facile de montrer les autres du doigt, de rejeter la faute sur les autres... Mais l'Occident n'est pas responsable de la destruction de l'économie zimbabwéenne au cours de la dernière décennie, ou des guerres où on enrôle les enfants dans les rangs des combattants». Acceptons alors le malheur, le mal qu’on a en partage et dont on parle dans l’intention d’attendrir les occidentaux et les engager à être plus tendre en vers nous au moment où ces derniers nous regardent avec mépris tant il est vrai qu’ils ne ratent jamais l’occasion de nous en faire la remarque. En Afrique, on ne se sent souder que dans les pires moments. « Vous vous reconnaissez comme frères que dans la souffrance, frères dans l'humiliation, frères dans la révolte, frères dans l'espérance, frères dans le sentiment que vous éprouvez d'une destinée commune, frères à travers cette foi mystérieuse qui vous rattache à la terre africaine, foi qui se transmet de génération en génération et que l'exil lui-même ne peut effacer». Ainsi, Sarko nous faisait-il entendre cette piquante vérité pourtant sous nos applaudissements nourris, signe fort éloquent de notre manque inné d’attention aux choses sérieuses pendant qu’elles se passent aux moments opportuns. Aux présidents africains, je dirai de méditer davantage ces propos et d’en accepter le bienfondé en place et lieu des plaintes et jérémiades indignes même du plus insignifiant mendiant. Ce que nous avions aux autres, leur belle condition de vie socioéconomique, n’est pourtant que le fruit de l’arbre qu’ils ont planté, la démocratie, sur la terre fertile du champ politico-social, seul espace de dialogues francs aux antipodes de tout discours démagogique sous quelle forme que ce soit. N’est-ce pas ce qu’Obama semble dire aux Ghanéens et par ricochet à tout le continent que « nous devons reconnaître cette vérité fondamentale, la bonne gouvernance, à laquelle vous avez donné vie au Ghana: le développement dépend de la bonne gouvernance. C'est un ingrédient qui a fait défaut pendant beaucoup trop longtemps, dans beaucoup trop d'endroits (...) L'Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, elle a besoin d'institutions fortes » Encore une fois, une nouvelle leçon version américaine administrée à l’Afrique qui semble refuser le développement parce que ne voulant point s’inscrire dans la logique d’une émancipation consciente. Tripatouilleurs de constitution, usurpateurs légitimés de la vérité des urnes, intimidateurs et je ne sais plus, nos présidents africains n’ont que la perspective de s’éterniser dans le pouvoir si ce n’est la mort qui leur en dissuade. Certes, il est à regretter cet état de fait, mais nous n’avons pas droit au découragement. Continuons à nous croire porteurs de notre propre développement comme les deux merveilleux discours l’ont ponctué! Souleymane LO, Doctorant en Sociologie Ugb Email : julessouleymanelo@yahoo.fr

bandu2 : menu_arrow.gif Article: cache moi ce sein que je ne saurais voir - 26/08/2009 22:56

Monument de la Renaissance africaine: "Couvrez moi ce sein que je ne saurais voir"

Imam Mbaye Niang comme tant d’autres Sénégalais à l’image de l’ignorant dont Platon nous avait décrit les caractéristiques car, ne disait-il pas de lui qu’ « il a ceci de fâcheux : n’ayant ni beauté ni art l’ignorant croit suffisamment en être pourvu », sous sa camisole d'homme politique et à degré moindre sous sa coupole religieuse, s'inscrit en faux avec l'appareAnce de nudité que revêt le symbole de la Renaissance africaine coté femme, lequel se dresse sur l'une des mamelles de Ouakam. Qu'y a-t-il de gênant à voir un sien surtout quand il est naissant, cette belle vue sensuelle et non sexuelle quand il n'est proie aux regards pervertis. Pourquoi doit-on penser que tout sein mérite le voile même si l'on ignore qu'il n'est fait que pour montrer la nudité. A-t-on peur de chavirer à sa vue aux larges des eaux pulsionnelles de la tumultueuse mer-libidinale? Je serais bien tenté d'y croire si tant est que toute nudité dérange ou fascine, choque ou attire s'il ne gène pas ou libère. C’est pourquoi Molière réclamait qu'on lui cache ce sein qu'il ne saurait voir. Mais devrions-nous admettre que ce comportement ne soit pas africain. En Afrique, on aurait dit pour plagier ce français " couvrez moi ce sexe que je ne saurais voir". Le sein est occidental tandis que le sexe est africain en ce sens que l'africain accorde plus d'importance au sexe qu'au sein. Si la femme blanche peut se permettre de laisser voir son sexe sans scrupule et que cela ne soit scandaleux aux regards des autres, force est de constater qu’il lui est impossible de se le permettre avec son sein. C’est tout le contraire avec la femme noire telle que magnifiée par Senghor, dans son beau poème « Femme noire », en évoquant ses aspects les plus sensuels et communicatifs en ces termes: couleur, forme, contours, grâce, finesse et j'en passe. Jamais africain ne se montrerait sensible à ce sein sous la caresse de l'harmattan ou de l'Alyzée. Le buste nu de la femme est culturellement africain et par conséquent le sein qu'il laisse poindre dans toute sa nudité, sa fermeté voire sa rondeur, élément discriminant aux yeux des colons quand il s'agissait d'en choisir pour des fins esclavagistes, sein, pour rappel, qu'ils soupesaient du délire à l'usage, ne gênait point le regard des sages africains qui ne s'intéressaient qu'au pubis dont la seule vue les faisaient vibrer de désirs sporadiques. Femme nue renvoie à l’état pure sans artifice ni robe, elle n'est point objet sexuel mais plutôt valeur sacro-sainte. La nudité est des lors beauté et perfection. Encore faudrait-il qu’on apprenne à le regarder et non à le voir. Regarder au sens anthropologique parce que s'attardant sur l'objet de contemplation à des fins pédagogiques, devrait être le seul comportement digne d’un leader surtout politique. Quand le sein noir, par le regard de l’autre, est chose inacceptable, c’est parce qu’on lui ôte la charge sensuelle qu’il revoie de lui-même. Sous ce rapport on pourrait être assimilé à celui dont les sensibleries de cœur sont telles qu’il se laisse déceler en lui des troubles sexuels graves voire pathologique. Alors, qu’on sache bien que la féminité, venant du plus profond de soi, est à distinguer du féminin, le rôle que l’on joue. Ici, le sein incarne une valeur culturelle, un ordre pour garantir l’harmonie au sein de la sainteté de notre société, plutôt qu’un objet de désir en résonnance avec les pulsions masculines dans toute leur puissance libidinale. Autrement pensé, tout le monde reste noyé sous des péréquations qui effaceraient les prouesses des meilleurs. Que Dieu nous préserve des esprits ankylosés à fin que nous sachions à quoi nous en tenir quand de telles pensées impies prennent effet sur notre vie, laquelle n’a besoin que de lumière pour s’épanouir à chaleur de l’adoration que nous nous devrions mutuellement comme fleur au soleil. Souleymane LO Email : julessouleymanelo@yahoo.fr

bandu2 : menu_arrow.gif Article: monument de la renaissance africaine - 26/08/2009 02:15

portez vous bien londamefr.bandu2.com

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Merci pour votre visite - 25/08/2009 22:29

tout le monde est chaleureusement convie